Marc Lanovaz, Ph.D., BCBA-D
Directeur du laboratoire
Marc est professeur titulaire à l’École de psychoéducation de l’Université de Montréal et chercheur au centre de recherche de l’Institut universitaire en santé mentale de Montréal. Ses principaux intérêts de recherche concernent l’utilisation de l’apprentissage automatique pour améliorer la prise de décisions cliniques et le développement d’applications mobiles et web pour faciliter la dispensation de services en santé et en éducation.

Jacob Lalongé
Étudiant au doctorat en recherche en psychologie
Jacob complète sa deuxième année au doctorat en recherche en psychologie à l’Université de Montréal, supervisé par Marc Lanovaz et Daniel Paquette. Il détient une mineure en sciences politiques, un certificat en criminologie et un baccalauréat en psychologie. Au cours de ses études universitaires, ses expériences de travail en tant qu’orthopédagogue et auxiliaire d’enseignement lui ont permis de développer des compétences pédagogiques appliquées. Il est passionné par le développement de ses compétences en enseignement et accorde une grande importance au partage du savoir et aux principes pédagogiques. La participation active à l’acquisition de nouvelles connaissances est au cœur de ses aspirations professionnelles. Ses intérêts de recherche concernent principalement la psychologie évolutionniste, la théorie des jeux et l’application de l’économie comportementale à des enjeux sociaux. Sa thèse traite de l’étude de la confiance humaine à travers le prisme de l’évolution et des changements environnementaux. Elle vise à comparer la valeur adaptative de la confiance dans l’environnement d’adaptation évolutive avec celle dans le contexte moderne à travers lequel nos interactions se déroulent.

Victoria Chagnon
Étudiante au doctorat recherche et intervention en psychoéducation
Victoria achève actuellement sa troisième année du passage direct au doctorat en psychoéducation à l’Université de Montréal, supervisée par Marc Lanovaz et Marie-Michèle Dufour. Elle détient une majeure en psychologie et un baccalauréat en psychoéducation. À la suite d’expériences de travail variées auprès des personnes autistes et de leur entourage, ainsi que de la complétion d’un projet de recherche dans le cadre du cheminement honor, elle développe un intérêt marqué pour cette clientèle et la recherche. Elle aspire à contribuer au bien-être et à l’accompagnement des personnes autistes, de leur entourage et des travailleurs impliqués auprès de la clientèle. Ses principaux intérêts de recherche concernent l’autisme, la déficience intellectuelle, les comportements-défis et l’utilisation des modèles d’apprentissage automatique et des technologies pour faciliter la mise en œuvre d’interventions préventives. Sa thèse vise à prédire les comportements d’agression, d’automutilation, d’opposition et de destruction chez les personnes autistes à l’aide des données issues d’une montre intelligente.

Philippe Leroux
Étudiant au doctorat recherche et intervention en psychoéducation
Philippe est intervenant et chercheur dans le cadre de sa formation doctorale en psychoéducation à l’Université de Montréal sous la direction de Marc Lanovaz. À ce jour, il a terminé près de quatre années de doctorat. Dans ses recherches, il s’intéresse à l’éthique de l’intelligence artificielle dans le cadre d’applications en sciences humaines et sociales, à la détection automatique de comportements et aux diverses problématiques telles que l’autisme. Il est intervenu dans plusieurs milieux, notamment les maisons de jeunes, les écoles primaires et secondaires, la DPJ et en clinique privée.
Son souhait est d’aider les intervenants en leur offrant des outils issus de l’intelligence artificielle pour réduire le fardeau de l’intervention et de préserver la passion des intervenants pour les années à venir. L’intervention est un travail qui demande une rigueur et une douceur unique. Avec les avancées en intelligence artificielle, le but est de préserver cet équilibre en fournissant des outils puissants, tels que la détection automatique de comportements, afin de faciliter l’observation et l’évaluation des comportements, permettant ainsi aux intervenants de se concentrer davantage sur l’intervention. C’est pourquoi, dans le cadre de sa formation, il participe à l’adaptation et à l’évaluation d’un modèle d’intelligence artificielle pour détecter automatiquement les comportements d’autostimulation chez les personnes autistes, ainsi qu’à l’évaluation d’un programme d’intervention visant à réduire les comportements antisociaux des adolescents autistes et/ou ayant une déficience intellectuelle en collaboration avec le CISSS de la Montérégie-Ouest. Grâce à ces avancées, des bénéfices considérables sont prévus tant pour l’efficacité des interventions que pour la qualité de vie des personnes autistes et des intervenants.

Jeanne Provost-Benoit
Étudiante à la maîtrise en psychoéducation
Jeanne est sur le point de compléter sa maîtrise en psychoéducation à l’Université de Montréal, supervisée par Marc Lanovaz. Elle détient un baccalauréat en psychologie, durant lequel elle a réalisé une thèse de spécialisation sur les conflits conjugaux et les pratiques parentales coercitives associés aux comportements sociaux des enfants d’âge préscolaire, ainsi qu’un baccalauréat en psychoéducation. Ses principaux intérêts de recherche concernent les approches émergentes en intervention et en soutien clinique utilisant les nouvelles technologies. Elle considère qu’il est essentiel de développer des outils concrets pour accompagner les professionnels dans leur pratique. Elle s’intéresse également au développement d’outil de vulgarisation scientifique. Son mémoire traite de l’élaboration et de l’évaluation d’un modèle d’analyse de graphiques de protocole à cas unique issu de l’apprentissage automatique. Plus concrètement, son projet vise à soutenir les psychoéducateurs dans leur évaluation continue.